3C. Kaczmarek, op.cit., p. 283-284 ; G. Garçon, « 1926-1986 : 60 ans dâenseignement du polonais aux ; 12 A la demande de lâabbĂ© Szymbor recteur de la Mission, Mgr Dalbor cardinal Primat de Pologne confie aux Ă©vĂȘques polonais le soin de trouver des volontaires.Les clercs dĂ©signĂ©s se rendent dâabord auprĂšs du recteur de la Mission : câest
LĆuvre est un roman dâĂmile Zola publiĂ© en 1886, le quatorziĂšme volume de la sĂ©rie Les Rougon-Macquart.Lâouvrage nous entraĂźne dans le monde de lâart et des artistes, Ă travers le portrait dâun peintre maudit, Claude Lantier, dont le personnage Ă©voque Paul CĂ©zanne, grand ami de Zola.. S'il a longtemps Ă©tĂ© admis que L'Ćuvre est Ă l'origine d'une brouille
FriseChronologique Cm1, Gratin PĂątes Poulet Moutarde, Location Vacances Loire-atlantique Avec Piscine, Figurine Disney Infinity, Agent D'escale Air France Recrutement,
Leroman judiciaire constitue un moment important dans lâhistoire du roman policier français. Par la rĂ©currence, au fil des rĂ©cits, du mĂȘme enquĂȘteur, les auteurs du genre Ă©laborent progressivement un nouveau type de pratique sĂ©rielle. Le plus connu et le mieux Ă©laborĂ© de ces personnages est, sans nul doute, le Lecoq dâĂmile Gaboriau, qui fait son
RĂ©sumĂ© Le petit Jacques Demy a de la chance : sa prime enfance, dans les annĂ©es trente, A la maison, la mĂšre repasse et chante : « Le petit GrĂ©goire ». Jacquot accompagne aux cabinets son petit frĂšre qui a peur. Main. Extrait de film en couleur. Main. FĂȘte des permissionnaires. Jacquot regarde « Peau dâĂąne » en marionnettes (couleurs).
Vay Tiá»n TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chá» Cáș§n Cmnd Há» Trợ Nợ Xáș„u. Voyage au bout de la nuit de CĂ©line Personnages principaux Arthur Ganate Ferdinand Bardamu La mĂšre de Bardamu Princhard Mme HĂ©rote Robinson LĂ©on Lola Musyne Le sergent Branledore Roger Puta Jean Voireuse Le directeur de la compagnie PorduriĂšre Tandernot Lâhomme du carocaro » Le lieutenant Grappa Alcide M Mischief Molly BĂ©zin BĂ©bert La tente Ă BĂ©bert Parapine Le fils Henrouille La bru Henrouille La vieille Henrouille LâabbĂ© Prostite Madelon Baryton AimĂ©e Gustave Mandamour Sophie RĂ©sumĂ© par chapitres Chapitre 1 Voyager est la seule chose utile, cela fait travailler lâimagination. Chapitre 2 Il dit que sâil nâen avait pas besoin pour vivre, il supprimerait tout. Le voyage » est le pire des livres. Il va ĂȘtre huĂ©. Chapitre 3 Ferdinand et Arthur discutent de la vie, de la politique, de la guerre. Ferdinand sâengage, ça a lâair drĂŽle ? Quand il veut partir, ils sont enfermĂ©s comme des rats ». Chapitre 4 Câest la guerre. Il ne sait mĂȘme pas pourquoi ils se battent. Il dit que la guerre câest moche. Son colonel est tuĂ© par un obus devant lui. Il retourne au campement, personne ne sâinquiĂšte de cette mort. On se bat pour la nourriture. Chapitre 5 Un mois de guerre. Lâespoir sâen va petit Ă petit Les gradĂ©s ont des exigences quâon ne peut plus satisfaire au fur et Ă mesure de la guerre. Les villages et les forĂȘts sont brulĂ©s. Chapitre 6 Bardamu est envoyĂ© en Ă©claireur vers Noirceur voir si les Allemands y sont. Il rencontre Robin LĂ©on qui est rĂ©serviste et qui, pour sauver sa peau, veut ĂȘtre fait prisonnier. Le maire de Noirceur les fait dĂ©camper par peur des reprĂ©sailles allemandes. Tous ne cherchent quâĂ survivre. Chapitre 7 Rencontre avec Lola, il ne lâaime que pour le sexe, elle aime la guerre et lui ne comprend pas. Il Ă©tait blessĂ©, il avait peur dây retourner, il est devenu fou Ă cause de la peur. Chapitre 8 Bardamu est dans un lycĂ©e transformĂ© en hĂŽpital pour les soldats en attente. Il nây a que trois choix retourner au front, aller Ă lâasile ou mourir. Lola le quitte car il refuse la guerre, il est lĂąche. Rencontre avec Princhard qui est retournĂ© au front et a disparu ». Chapitre 9 Il est transfĂ©rĂ© dans un autre hĂŽpital. Musyne le fuit et finit par lâabandonner pour les riches. Il doit faire croire quâil est patriote et quâil retournerait bien au front sâil nâĂ©tait pas malade. Le docteur Bestombes pense quâil est sur la voie de la guĂ©rison. Il ne lui reste que sa mĂšre. Chapitre 10 Leur hĂ©roĂŻsme falsifiĂ© est fĂȘtĂ©. Il est le hĂ©ros » de vers rĂ©citĂ© Ă la ComĂ©die Française. Branledore lui ravit les honneurs. Le poĂšte aimerait jouer avec Bardamu. Celui-ci sâen va et rentre seul. Chapitre 11 retrouvailles avec un ancien collĂšgue de travail Jean Voireuse. Ils veulent retourner chez leur ancien employeur qui les congĂ©die gentiment. Voireuse a un plan, qui ne marche pas, pour faire de lâargent. Bardamu retrouve Robinson. Chapitre 12 Il sâembarque pour lâAfrique. Il est vu comme lâennemi public n°1, car il a payĂ© son voyage, par les militaires coloniaux. Il Ă©vite la bagarre » en jouant la carte du patriotisme avec le capitaine FrĂ©mizon. Il sâenfuit Ă la premiĂšre escale. Chapitre 13 La vie Ă la colonie est dure. Il ne rĂȘve que de repartir mais il lui faut dâabord travailler. Il sâest fait quelques amis. Chapitre 14 La vie Ă Togo est affreuse. Le lieutenant Grappa nâaime as rĂ©flĂ©chir mĂȘme pour rendre la justice le jeudi. Alcide est un homme qui fait du commerce illĂ©gal pour entretenir sa niĂšce qui vit en France. Bardamu va bientĂŽt partir pour son magasin » Chapitre 15 Lâhomme quâil remplace câest Robinson, il en a peur. Il sâinquiĂšte dâabord des affaires de la compagnie puis fait tout bruler pour partir loin. Faire confiance aux hommes, câest dĂ©jĂ se faire tuer un peu. » Chapitre 16 TraversĂ©e de la foret, arrivĂ©e Ă San Tapeta dans un sale Ă©tat. Il est vendu Ă une galĂšre comme rameur. Lâair de la mer lui fait du bien malgrĂ© une lĂ©gĂšre folie. OĂč sont-ils arrivĂ©s ? Chapitre 17 Ils sont en AmĂ©rique. Il fuit la galĂšre et commence Ă travailler au port pour enlever les puces des immigrants. Il a une promotion et entre pour la premiĂšre fois dans New-York. Il ne voit que les pauvres. Chapitre 18 Il est perdu dans New-York, il est entrainĂ© malgrĂ© lui dans un grand hĂŽtel oĂč il rĂ©serve une chambre pour la nuit. Il nâarrive pas dormir alors il va au cinĂ©ma et arrive Ă sâendormir en rentrant car ses rĂȘves comblent sa solitude. Chapitre 19 Il sâennuie toujours. Il veut un peu de plaisir avec une serveuse mais on le jette dehors. Il dit que les hommes sâen foutent du sort des autres. Il aimerait retrouver Lola pour avoir de lâargent. Il espĂšre aussi retrouver Robinson. Chapitre 20 Il retrouve Lola qui est riche, il arrive Ă lui soutirer 100 dollars. Cela le remotive. Il part pour DĂ©troit afin de trouver du travail. Chapitre 21 Il travaille chez Ford oĂč on lui dit quâil ne doit as rĂ©flĂ©chir car on le fait pour lui. Rencontre avec Molly, femme sincĂšre quâil regrette dâavoir quittĂ©e. Il revoit Robinson. Il continue Ă fuir, il retourne en France. Chapitre 22 Bardamu a fini ses Ă©tudes, il est mĂ©decin. Il est installĂ© dans un petit village. Tout le monde profite de sa gentillesse pour ne pas payer. MĂȘme lĂ , il ne peut pas penser câest trop dĂ©primant. Chapitre 23 Les Henrouille lui racontent leur pitoyable histoire. Ils espĂšrent quâil fera interner la vieille mais celle-ci se dĂ©fend et fait fuir Bardamu. Il nâaura pas les 1000 francs. Chapitre 24 Il est appelĂ© pour une fille qui en est Ă son troisiĂšme avortement. Elle saigne Ă©normĂ©ment mais il ne fait rien, la mĂšre ne veut pas de scandale. Il a honte de demander ses honoraires, il a lâimpression de voler les pauvres. Il ne rĂ©agit plus Ă rien mĂȘme quand il entend que la voisine se fait battre. Chapitre 25 Robinson est de retour. Pourquoi cela lâa-tâil autant bouleversĂ© ? Il fait scandale dans une famille oĂč il est pour un bĂ©bĂ©. Pourquoi dit-il ne pas pouvoir quitter Rancy ? Chapitre 26 BĂ©bert est trĂšs malade. Bardamu a tout tentĂ© sans succĂšs. Il va voir un spĂ©cialiste qui, Ă part lui raconter sa vie, ne lâaide pas. Chapitre 27 Il ne veut pas rentrer car il nâa pas de solution pour BĂ©bert. Episode de la lecture de Montaigne et de la torture du cochon. Retour chez lui. Il ne sait pas comment va BĂ©bert et se demande que faire. Chapitre 28 Mort de BĂ©bert. Robinson est de retour dans les parages. Bardamu ne soigne personne. La vieille Henrouille se met Ă sortir. Robinson a prĂ©parĂ© un sale coup pour tuer la vieille afin de toucher les sous des enfants. Chapitre 29 Câest la fĂȘte, souvenir de lâĂ©poque Lola ». Il soigne SĂ©verine. Il est tard. Robinson nâa toujours pas abandonnĂ© son plan. Chapitre 30 Bardamu est appelĂ© chez les Henrouille. Le piĂšge sâest retournĂ© contre Robinson. La vieille a survĂ©cu et nâa vraiment pas lâintention de mourir ni mĂȘme de laisser faire sa bru. Chapitre 31 Les gens commencent Ă jaser. Robinson est dans un sale Ă©tat. Il va ĂȘtre aveugle ? Evocation de souvenirs. Ils ont peur dâĂȘtre dĂ©noncĂ©s par les voisins. Chapitre 32 Bardamu a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© comme mĂ©decin dâun dispensaire de tuberculeux. Ăa lui fait de lâargent. Tout le monde le dĂ©nigre malades comme confrĂšres. Il a la visite dâun abbĂ©. Que lui veut-il ? Chapitre 33 Le prĂȘtre est embarquĂ© dans la mĂȘme galĂšre que lui Ă propos de Robinson et des Henrouille. Ils ont une solution. Ils veulent envoyer la vieille et Robinson dans le midi. Câest Ă Bardamu de convaincre Robinson. Il reçoit 200 francs dâacompte. Chapitre 34 Il quitte Rancy sans rien dire Ă personne. Il suit la route des lĂ©gumes ». Il retrouve Parapine. Il est embauchĂ© dans une troupe pour le Tarapout » un cinĂ©ma. Chapitre 35 Rencontre avec une nouvelle femme. Sa vie est catastrophique. Philosophie de lâamour. Chapitre 36 Lâhistoire de Robinson le tracasse. Il ne sait pas ce qui lui est arrivĂ©. Il va chez les Henrouille pour avoir de ses nouvelles. Le vieux Henrouille est en train de mourir. Il se fĂąche avec la bru Ă propos dâun rĂątelier en or. Chapitre 37 LâabbĂ© Protiste lui donne sa part et lui donne des nouvelles de Robinson qui va se marier avec Madelon. Il se rend Ă Toulouse pour le voir. Episode de la constipation. Il fait lâamour avec Madelon, future femme de Robinson. Chapitre 38 La vie Ă Toulouse est agrĂ©able. La vieille Henrouille gagne bien » sa vie. Robinson rĂąle tout le temps. Bardamu doit rentrer, ses Ă©conomies sâĂ©puisent. Il donne des conseils Ă Madelon Ă propos de ses Ă©carts de fidĂ©litĂ© ». Chapitre 39 Madelon et Robinson le retiennent pour une derniĂšre semaine. Episode de la pĂ©niche dans laquelle ils Ă©taient invitĂ©s car les hĂŽtes Ă©taient 13 Ă table. Madelon convainc Robinson de ne plus voir Bardamu. Chapitre 40 Alors quâil fait ses valises, on lâappelle parce que la vieille Henrouille a eu un accident. A la place de sây rendre, il va prendre son train. Chapitre 41 Grace Ă Parapine, il travaille pour Baryton dans un asile. Baryton lâaime bien car il nâest pas contrariant par contre il croit que Parapine va devenir fou. Chapitre 42 PremiĂšre fois quâune situation finie bien pour Bardamu Baryton, aprĂšs de nombreux cours dâanglais, dĂ©cide de lui laisser la tĂȘte de lâasile. En effet, il veut vivre et part donc vers lâAngleterre. Chapitre 43 Robinson est de retour, sans Madelon quâil cherche Ă fuir. Baryton ne semble pas prĂšs de revenir. Bardamu se sent plus que jamais Ă©coutĂ© du monde, il commence Ă sâĂ©loigner de tout et de tous. Chapitre 44 Il sent le malheur arriver et en effet Madelon est de retour. Il la gifle. Chapitre 45 Il embauche Sophie comme infirmiĂšre. Il veut se rĂ©concilier avec Madelon et Robinson, ils sont de nouveau ensemble ? Il suit les conseils de Sophie. Les retrouvailles se feront lors de la fĂȘte des Batignolles. Chapitre 46 Dispute avec Madelon. Rien ne la calme. Robinson ne veut pas partir avec elle, elle ne supporte pas ce refus. Elle lui tire deux balles dans le ventre. Il meurt peu aprĂšs. Chapitre 47 Ils doivent faire un rapport sur la mort de Robinson. Bardamu espĂšre avoir la force de mourir comme son ami.
Accueil BoĂźte Ă docs Fiches Le Petit Vieux des Batignolles Document Ăvaluation Un crime - le meurtre d'un homme ayant Ă©crit de son propre sang les lettres Monis», un policier-enquĂȘteur et pour finir, un coupable. Classique - mieux - historique, puisque ce roman policier date de la fin du Second Empire, mais aussi un polar, un vrai. MĂ©chinet, agent de sĂ»retĂ© et fin limier, reprend tranquillement, patiemment, l'enquĂȘte de zĂ©ro pour dĂ©nouer l'Ă©nigme dĂ©bonnaire, attentif aux conseils de sa femme, frondeur Ă l'encontre des autoritĂ©s supĂ©rieures, il avance patiemment et infailliblement jusqu'au coupable. ClartĂ© du contenu UtilitĂ© du contenu Raphael publiĂ© le 24/01/2022 ClartĂ© du contenu UtilitĂ© du contenu Signaler lolo publiĂ© le 15/07/2019 ClartĂ© du contenu UtilitĂ© du contenu Signaler ExubĂ©rant six en publiĂ© le 06/01/2019 ClartĂ© du contenu UtilitĂ© du contenu Signaler ocedu13 publiĂ© le 20/04/2017 ClartĂ© du contenu UtilitĂ© du contenu Signaler LycĂ©e Bac gĂ©nĂ©ral Bac techno Bac L Français
FRANCE 2 TĂLĂFILM UNE ADAPTATION TRUCULENTE DU ROMAN POLICIER D'ĂMILE GABORIAU Qui a tuĂ© le petit vieux des Batignolles, M. Pigoreau, ancien coiffeur de belle renommĂ©e ? MĂȘme si la victime a eu le temps, avant de mourir, d'inscrire de sa main ensanglantĂ©e le nom de son assassin sur le parquet, l'affaire n'est pas aussi simple que le laissent supposer les indices et les aveux du soi-disant coupable. MĂ©chinet Pierre Arditi, commissaire Ă la truculence dĂ©bonnaire, sent bien, par intuition, que tout cela n'est que comĂ©die. FlanquĂ© de Godeuil Manuel Le LiĂšvre, un Ă©tudiant en mĂ©decine qui se prend au jeu par hasard et curiositĂ©, MĂ©chinet mĂšne l'enquĂȘte, dĂ©fie les apparences, dĂ©joue les piĂšges. C'est qu'avec cet air de ne pas y toucher il a l'art et la maniĂšre de faire parler les gens ! AdaptĂ© du roman Ă©ponyme d'Emile Gaboriau, Ă©crivain qui a donnĂ© au genre policier ses lettres de noblesse, Le Petit Vieux des Batignolles restitue avec bonheur le climat du Paris du XIXe siĂšcle dans lequel l'auteur a campĂ© son enquĂȘte. De mĂȘme que Pierre Arditi et Manuel Le LiĂšvre interprĂštent Ă merveille l'archĂ©type du duo bon enfant - l'inspecteur et son petit mĂ©decin dans une relation de maĂźtre Ă Ă©lĂšve -, qui inspira plus tard Conan Doyle pour son Sherlock Holmes et son docteur Watson. BONS VIVANTS ET BLAGUEURS Claude Chabrol a visiblement pris beaucoup de plaisir Ă se glisser dans cet univers primesautier et coquin, aux accents populaires gĂ©nĂ©reusement alimentĂ©s par une bande-son qui fait la part belle aux morceaux d'opĂ©rettes Offenbach et aux chansons paillardes. Mieux, le rĂ©alisateur a sans conteste trouvĂ©, dans ce climat familier ainsi que dans ces personnages bons vivants et blagueurs, le terrain idĂ©al pour exprimer ses propres penchants. Chers Ă Chabrol c'est connu !, les repas occupent ainsi une place importante dans le film. Ils sont Ă la fois moments de pause propices Ă la rĂ©flexion et Ă la discussion et instants cruels pour l'inspecteur qui, au rĂ©gime, doit renoncer aux bons petits plats de son Ă©pouse. Ce qui fait l'objet d'une blague rĂ©currente qu'on se plaĂźt Ă attendre chaque fois que M. et Mme MĂ©chinet Sophie Artur passent Ă table. CinquiĂšme adaptation de la premiĂšre sĂ©rie "Au siĂšcle de Maupassant, contes et nouvelles de grands auteurs du XIXe siĂšcle" que dirigent pour France 2 GĂ©rard Jourd'hui et Jacques Santamaria, Le Petit Vieux des Batignolles sera suivi de Pour une nuit d'amour de Zola, Boubouroche de Courteline, Les Trois Messes basses de Daudet. Tandis qu'une deuxiĂšme saison est dĂ©jĂ en prĂ©paration avec au programme du Georges Feydau et du Gaston Leroux, entre autres. Claude Chabrol France, 2009, 60 min.. Avec Pierre Arditi, Manuel Le LiĂšvre, Bernard Blancan, Isabelle Renauld. V. Ca. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă lire ici ? Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il dâautres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant dâappareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est lâautre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Le Petit Vieux des Batignolles - Le Petit Vieux des Batignolles - SHOW MORE SHOW LESS No tags were found... Create successful ePaper yourself Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software. More documents Similar magazines Info Le Petit Vieux des Batignolles Gaboriau, Ămile Publication 1876 CatĂ©gories Fiction, Policiers & MystĂšres Source 1Page 2 and 3 A Propos Gaboriau Ămile Gaboriau Page 4 and 5 Jâen vins donc naturellement, nonPage 6 and 7 - Jây vais, fit-il ; cours dire qPage 8 and 9 Car câĂ©tait chez lui un tic que Page 10 and 11 Chose bizarre ! Au geste de monsieuPage 12 and 13 Chapitre 3 DĂ©sormais, jâĂ©tais fPage 14 and 15 Ă©tait mort. Cette circonstance quePage 16 and 17 Chapitre 4 Dâautant plus rude Ă©tPage 18 and 19 » JusquâĂ ce moment, elle Ă©taiPage 20 and 21 - En ĂȘtes-vous sĂ»r ⊠- DâaprPage 22 and 23 - Quây a-t-il pour votre service,Page 24 and 25 dĂ©clarant quâon ferait de sa forPage 26 and 27 Chapitre 6 De mĂȘme que pour venir Page 28 and 29 Monsieur MĂ©chinet eut un bond de tPage 30 and 31 - Autre chose, reprit-il brusquemenPage 32 and 33 Mais il faudrait une page pour dĂ©tPage 34 and 35 concierge eĂ»t dĂ» vous Ă©clairer. Page 36 and 37 Chapitre 8 Ce qui me manquait alorsPage 38 and 39 qui ils ont affaire, ils posent, ilPage 40 and 41 Mais câest en vain que, durant plPage 42 and 43 Et certes, quand ils nous parlaientPage 44 and 45 livrait pas⊠Nous risquions de gaPage 46 and 47 Quand le hasard est si intelligent Page 48 and 49 iĂšre, et juste en face, assujettiePage 50 and 51 Chapitre 11 Jâavais commis une imPage 52 and 53 grĂ© mal grĂ©, je dus le suivre au Page 54 and 55 Chapitre 12 AussitĂŽt sur le trottoPage 56 and 57 Ă notre certitude morale, se joignPage 58 and 59 Cette leçon ne devait pas ĂȘtre pe Delete template? Are you sure you want to delete your template? Save as template?
apoplexy. Chapitre 1 Lorsque jâachevais mes Ă©tudes pour devenir officier de santĂ© â câĂ©tait le bon temps, jâavais vingt-trois ans â je demeurais rue Monsieur-le-Prince, presque au coin de la rue Racine. Jâavais lĂ , pour trente francs par mois, service compris, une chambre meublĂ©e qui en vaudrait bien cent aujourdâhui ; si vaste que je passais trĂšs aisĂ©ment les manches de mon paletot sans ouvrir la fenĂȘtre. Sortant de bon matin pour suivre les visites de mon hĂŽpital, rentrant fort tard parce que le cafĂ© Leroy avait pour moi dâirrĂ©sistibles attraits, câest Ă peine si je connaissais de vue les locataires de ma maison, gens paisibles tous, rentiers ou petits commerçants. Il en est un, cependant, avec qui, peu Ă peu, je finis par me lier. CâĂ©tait un homme de taille moyenne, Ă physionomie insignifiante, toujours scrupuleusement rasĂ©, et quâon appelait, gros comme le bras, monsieur MĂ©chinet. Le portier le traitait avec une considĂ©ration toute particuliĂšre, et ne manquait jamais, quand il passait devant sa loge, de retirer vivement sa casquette. Lâappartement de monsieur MĂ©chinet ouvrant sur mon palier, juste en face de la porte de ma chambre, nous nous Ă©tions Ă diverses reprises trouvĂ©s nez Ă nez. En ces occasions, nous avions lâhabitude de nous saluer. Un soir, il entra chez moi me demander quelques allumettes ; une nuit, je lui empruntai du tabac ; un matin, il nous arriva de sortir en mĂȘme temps et de marcher cĂŽte Ă cĂŽte un bout de chemin en causant⊠Telles furent nos premiĂšres relations. Sans ĂȘtre ni curieux ni dĂ©fiant â on ne lâest pas Ă lâĂąge que jâavais alors â on aime Ă savoir Ă quoi sâen tenir sur le compte des gens avec lesquels on se lie. Jâen vins donc naturellement, non pas Ă observer lâexistence de mon voisin, mais Ă mâoccuper de ses faits et gestes. Il Ă©tait mariĂ©, et madame Caroline MĂ©chinet, blonde et blanche, petite, rieuse et dodue, paraissait adorer son mari. Mais la conduite de ce mari nâen Ă©tait pas plus rĂ©guliĂšre. FrĂ©quemment il dĂ©campait avant le jour et souvent le soleil Ă©tait levĂ© quand je lâentendais regagner son domicile. Parfois il disparaissait des semaines entiĂšres⊠Que la jolie petite madame MĂ©chinet tolĂ©rĂąt cela, voilĂ ce que je ne pouvais concevoir. IntriguĂ©, je pensai que notre portier, bavard dâordinaire comme une pie, me donnerait quelques Ă©claircissements. Erreur !⊠à peine avais-je prononcĂ© le nom de MĂ©chinet quâil mâenvoya promener de la belle façon, me disant, en roulant de gros yeux, quâil nâĂ©tait pas dans ses habitudes de moucharder » ses locataires. Cet accueil redoubla si bien ma curiositĂ© que, bannissant toute vergogne, je mâattachai Ă Ă©pier mon voisin. Alors, je dĂ©couvris des choses qui me parurent Ă©normes. Une fois, je le vis rentrer habillĂ© Ă la derniĂšre mode, la boutonniĂšre endimanchĂ©e de cinq ou six dĂ©corations ; le surlendemain, je lâaperçus dans lâescalier vĂȘtu dâune blouse sordide et coiffĂ© dâun haillon de drap qui lui donnait une mine sinistre. Et ce nâest pas tout. Par une belle aprĂšs-midi, comme il sortait, je vis sa femme lâaccompagner jusquâau seuil de leur appartement, et lĂ lâembrasser avec passion, en disant â Je tâen supplie, MĂ©chinet, sois prudent, songe Ă ta petite femme ! Sois prudent !⊠Pourquoi ?⊠à quel propos ? Quâest-ce que cela signifiait ?⊠La femme Ă©tait donc complice !⊠Ma stupeur ne devait pas tarder Ă redoubler. Une nuit, je dormais profondĂ©ment, quand soudain on frappa Ă ma porte Ă coups prĂ©cipitĂ©s. Je me lĂšve, jâouvre⊠Monsieur MĂ©chinet entre, ou plutĂŽt se prĂ©cipite chez moi, les vĂȘtements en dĂ©sordre et dĂ©chirĂ©s, la cravate et le devant de sa chemise arrachĂ©s, la tĂȘte nue, le visage tout en sang⊠â Quâarrive-t-il ? mâĂ©criai-je Ă©pouvantĂ©. Mais lui, me faisant signe de me taire â Plus bas !⊠dit-il, on pourrait vous entendre⊠Ce nâest peut-ĂȘtre rien quoique je souffre diablement⊠Je me suis dit que vous, Ă©tudiant en mĂ©decine, vous sauriez sans doute me soigner cela⊠Sans mot dire, je le fis asseoir, et je me hĂątai de lâexaminer et de lui donner les soins nĂ©cessaires. Encore quâil y eĂ»t eu une grande effusion de sang, la blessure Ă©tait lĂ©gĂšre⊠Ce nâĂ©tait, Ă vrai dire, quâune Ă©raflure superficielle partant de lâoreille gauche et sâarrĂȘtant Ă la commissure des lĂšvres. Le pansement terminĂ© â Allons, me voilĂ encore sain et sauf pour cette fois, me dit monsieur MĂ©chinet. Mille remerciements, cher monsieur Godeuil. Surtout, de grĂące, ne parlez Ă personne de ce petit accident, et⊠bonne nuit. Bonne nuit !⊠Je songeais bien Ă dormir, vraiment ! Quand je me rappelle tout ce quâil me passa par la cervelle dâhypothĂšses saugrenues et dâimaginations romanesques, je ne puis mâempĂȘcher de rire. Monsieur MĂ©chinet prenait dans mon esprit des proportions fantastiques. Lui, le lendemain, vint tranquillement me remercier encore et mâinvita Ă dĂźner. Si jâĂ©tais tout yeux et tout oreilles en pĂ©nĂ©trant dans lâintĂ©rieur de mes voisins,
le petit vieux des batignolles résumé par chapitre